Séjour en Californie du 10 au 20 novembre 2016 – Partie IV
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Stanford University, une vénérable institution… à la pointe de la science et de la technologie.
C’est aussi une concentration d’œuvres d’art : le campus ne compte pas moins de deux « Penseurs », un groupe des « Bourgeois de Calais » et une multitude d’œuvres de Rodin dans le jardin de sculptures et dans le Cantor Arts Centre.
C’est aussi une concentration d’œuvres d’art : le campus ne compte pas moins de deux « Penseurs », un groupe des « Bourgeois de Calais » et une multitude d’œuvres de Rodin dans le jardin de sculptures et dans le Cantor Arts Centre.
Rodin – Le penseur
Stanford c’est plus qu’une université, c’est un campus à l’américaine, une ville dans la ville, immense, très aérée avec de grands espaces verts, des parcs, des bassins, une église, et même un énorme centre commercial, le « Stanford shopping center ».
Stanford – Vue sur le main quad et l’église
San Francisco, pour l’instant sans brouillard. Le Golden Gate Bridge et la baie sont toujours magnifiques, Alcatraz semble en rénovation avec de grands panneaux blancs et la chocolaterie Ghirardelli propose des glaces délicieuses. Ce soir, nous allons découvrir le Beaujolais Nouveau à Haight Ashbury (c’est le quartier de la maison bleue de Maxime Le Forestier).
San Francisco – Bateau et Golden Gate Bridge
Pour plus de précision, nous sommes ici pour deux jours de réunion du IW3C2 (International World Wide Web Conference Committee) dont Luc est le trésorier. La dégustation de ce soir est organisée par notre ami Bebo, ancien membre du comité, lui-même compagnon du Beaujolais et habitant d’une maison bleue à Haight Ashbury. En tant qu’organisateur de la soirée, c’est lui qui s’est chargé de collecter les fonds pour payer le repas.
San Francisco – Uncle Scrooge (oncle Picsou)
Quelques incontournables de San Francisco aujourd’hui : Lombard street, the « crookedest street in the world », Colombus avenue, le quartier italien, avec vue sur la triangulaire TransAmerica Tower, Washington Square en-dessous de la Coit Tower, la librairie City Lights de Lawrence Ferlinghetti, où il y a bien des années se retrouvaient Allen Ginsberg et Jack Kerouac, et enfin Chinatown le long de Grant Avenue.
San Francisco – La Coit tower
Comme on le voit sur les photos, San Francisco mérite sa réputation de ville ayant un relief très prononcé. Les rues sont rectilignes, montent très fortement, redeviennent plates pour les intersections, puis continuent à monter ou bien se mettent à redescendre avec une pente qui exige de bons freins.
Lorsque l’on est à un carrefour en haut d’une descente, la rue est cachée par le capot de la voiture et on ne voit même pas dans quoi on va s’engager.
La seule rue qui n’est pas rectiligne, c’est Lombard street. Sur un bloc (intervalle entre deux intersections) des lacets ont été aménagés dans la largeur de la rue pour diminuer le pourcentage de la pente.
Lorsque l’on est à un carrefour en haut d’une descente, la rue est cachée par le capot de la voiture et on ne voit même pas dans quoi on va s’engager.
La seule rue qui n’est pas rectiligne, c’est Lombard street. Sur un bloc (intervalle entre deux intersections) des lacets ont été aménagés dans la largeur de la rue pour diminuer le pourcentage de la pente.
San Francisco – La Transamerica tower
